Le Parlement a adopté ce mercredi 7 décembre 2016, le délit d’entrave numérique à l’IVG, qui condamne à deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende les propriétaires de sites internet qui dissuaderaient les femmes d’avorter à partir d’informations jugées inexactes par les sectateurs de la culture de mort. Informer sur les dangers de l’avortement est...
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